jeudi 28 novembre 2013

A VASLES TON VIANDOX !

Bonjour les amis !

Comme dirait Philippe Varin, "Une entreprise qui ne se développe pas finit par mourir, et alors il faut filer avec la caisse !" ( je cite de mémoire ..)
Moi, comme la caisse est vide, je n'ai pas le choix : je me développe !
J'exporte donc le Viandox à Vasles, dans les Deux-Sèvres ! C'est demain Vendredi 29 Novembre à 20 H 30 à La Bibliothèque (un endroit où y'a des livres !).
Des sketches, des chansons, et peut-être, à la fin, un autodafé pour faire plaisir à nos amis rappeurs !


A demain, les amis !

dimanche 24 novembre 2013

SEANCES PATRIMOINE - WILDER A LA CRECHE !

Bonjour les amis !

Cet après-midi, Dimanche 24 Novembre  à 17 H, je serai au Cinéma H.G.Clouzot de La Crèche (79) pour vous présenter Spécial Première de monsieur Billy Wilder !


Une formidable adaptation de la pièce de Ben Hecht avec le tandem Jack Lemmon/Walter Matthau !

Bande-annonce :



Pour les fainéants et les trop loin , je présenterai également ce film

Dimanche 1er Décembre à Chauvigny
Lundi 2 Décembre à Gencay
Lundi 09 Décembre à Civray
Jeudi 12 Décembre à Châtellerault

A tout à l'heure, sûrement !!
Fred.

samedi 23 novembre 2013

CINEMA DE MINUIT - INNOCENT TESTAMENT...

Bonjour les amis !

Demain soir, à 00 H 15, sur France 3 : "L'Innocent" (1976) de Luchino Visconti...


Les cinéastes fantasment toujours beaucoup sur les oeuvres ultimes des grands auteurs. On a envie d' y voir le film de toutes les clés, la solution de l'énigme, le sens de l'ensemble. La réalité est hélas plus complexe. Le dernier film peut être un feu d'artifice, comme Gens de Dublin de John Huston...


... Ou un pétard mouillé, à l'instar du triste Complot de Famille du père Hitchcock...


Cela dépend de l'inspiration, de l'état de santé , moral et aussi physique , des chers cinéastes. Lorsqu'il attaque le tournage de L'Innocent, Luchino Visconti est malade, et contraint de tourner , pour des raisons de confort, des films intimistes. Si le précédent, Violence et Passion, avec Burt Lancaster, est, lui, bizarrement considéré comme le film testamentaire du maître, son authentique dernier film, lui, sera longtemps sous-estimé par la critique.
Et pourtant, quel dernier bouquet. Le Visconti des années 60, celui du Guépard, ne se faisait déjà pas d'illusion sur la corruption de la Haute Bourgeoisie, sa vanité, mais le trait dur s'accompagnait d'un amour immodéré pour la reconstitution du grand luxe XIXème et le charisme de ses grands hommes. Plus de dix ans plus tard, le trait s'est encore durci , et cette fois, les masques tombent.
Ici est adapté un roman des plus sombres de Gabriele d'Annunzio, faisant le portrait d'un pathétique grand bourgeois, fat, prétentieux et infidèle, qui, vexé de la liaison passionnelle que son épouse noue avec un écrivain, reconquiert celle-ci. Qui se retrouve quand même enceinte de l'amant. Le couple décide de garder l'enfant, mais le mari trop fier, tue volontairement celui-ci (l'innocent), lâchement, en lui faisant prendre froid. Devant la colère de sa femme, et ne sachant vivre autrement qu'en se mettant en scène , il met grotesquement fin à ses jours.
Nous sommes loin des ors du Guépard, même si le décor, entièrement constitué d'emprunts à des collections privées, est un régal pour les yeux. Nous sommes dans un récit de décadence, pour ne pas dire de folie.
Visconti voulait Alain Delon et Romy Schneider dans  les rôles principaux. Leur refus est peut-être à l'origine de la bouderie de la critique, qui croyait y voir un projet "au rabais". Au contraire, le charisme moyen des deux interprètes principaux accentue la sensation de vacuité dégagée par cet univers.


Laura Antonelli est alors abonnée aux comédies sexy, dirigées par des talentueux ( Risi, Campanile) ou pas. Elle est entre autres la star de Malicia, drôle de machin érotico-neu-neu, qui fut un des plus gros succès de l'année 1973 :


Bien qu'elle fut la compagne de notre Belmondo national, son rôle le plus ambitieux est bien dans L'Innocent. Elle se tire moyennement bien de ce rôle, il faut bien le dire , complexe, de femme à la fois coincée, passionnée, amoureuse puis névrosée (ouf !) . Mais elle porte magnifiquement bien les tenues d'époque...

( denière image du film, sublime...)

... Et son opacité constitue un excellent appui de jeu pour son partenaire Giancarlo Gianini.
Celui-ci est le pivot du film. Mal connu du grand public, il est pourtant un des acteurs les plus fins de cette époque , dans des personnages aussi bien distanciés que grotesques. Il porte le film sur ses épaules, à la fois dur, égoïste, pathétique, enfantin, et enfin ridicule. Ca n'engage que moi, mais je ne suis pas sûr que Delon aurait fait mieux, en tous cas il aurait tiré le personnage vers plus de charme, c'est certain. Et c'eut été dommage.
Car ce qui rend ce film touchant, c'est que l'on en sait plus, au fil des scènes,  si l'on doit envier ou plaindre ces nantis déconnectés du monde nouveau qui se crée alors,  ces quasi-fantômes qui s'inventent des enjeux, en pure perte , et en attendant la mort. 
Un film à redécouvrir, comme on dit dans Télérama.


A plus.
Fred.

BONUS : RIP Georges Lautner. Ce ne fut pas un très grand cinéaste, et il s'est d'ailleurs bien souvent banané. Mais il fut parfois un réalisateur inspiré, bien sûr avec Les Tontons Flingueurs, Ne nous Fâchons Pas, mais même sans Audiard, il fit parfois merveille, avec le méconnu On aura Tout Vu, avec Pierre Richard, et son fameux "A genoux, escalope !" ...


.. Et le sombre et passionnant Septième Juré, avec Blier et Francis Blanche , un peu avant les Tontons...

 

dimanche 17 novembre 2013

CINEMA DE MINUIT - LES VALJEAN NORMAUX N'ONT RIEN D'EXCEPTIONNEL...

Bonjour les amis !

Ce soir, à 00 H 15, sur France 3 : "Les Misérables" (3ème époque) de Raymond Bernard (1934)...


Le retentissement qu'eut à l'époque la version de Raymond Bernard éclipsa totalement chez nous la version hollywoodienne sortie l'année suivante, à nouveau par la Fox, en 1935. Version où le doux Valjean/Fredric March se faisait littéralement bouffer par l'ogre-cabotin Charles Laughton en Javert, comme l'indique le montage ci-dessous...

Les américains n'auront pas plus de chance avec leur version de 52, qui , comme la précédente est un digest assez peu digeste, avec, en plus, cette fois, pour jouer l'ancien forçat,  l'ultra-fade Michael Rennie , qui suffit à plomber l'ensemble...


... Alors que Gino Cervi , futur Peppone, est au contraire  l'atout majeur de la version très feuilletonesque de Riccardo Freda, en 47 :


Mais attardons-nous un peu sur l'AUTRE version française classique, la plus connue et souvent la plus appréciée : elle date de 1957, est en Technicolor et en Technirama ( ?)  , et réunit une distrib' à couper le souffle : Gabin/Valjean, Blier/Javert, et Bourvil/Thénardier !


Pourquoi cette version-là, avec de tels atouts , n'est-elle pas à la hauteur de la version Baur ? Eh bien, la faute en revient à l'adaptation, pourtant signée Barjavel, et surtout au metteur en scène Jean-Paul Le Chanois. Celui-ci , sympathique auteur de plusieurs films engagés ( Le Cas du Docteur Laurent) ou naturalistes ( Sans Laisser d'Adresse, L'Ecole Buissonnière) se retrouva un peu dépassé par le dispositif du grand spectacle et le charisme de ses acteurs . Le résultat est sage et illustratif, presque scolaire . Quand à la fin du récit, qui dure quand même trois heures, elle est carrément bâclée. Si Blier et Bourvil ( et Reggiani en Enjolras !) réussisent des compositions saisissantes, Gabin est déjà en train de de se fossiliser dans son rôle de patrarche et donne une vision un peu distanciée, un peu symbolique de Valjean, un rôle qui lui tenait pourtant à coeur, admirateur qu'il était d'Harry Baur... A-t-il été paralysé par son admiration ?
Autre choix judicieux de Valjean : Lino Ventura, hélas dirigé par la patte lourde de Robert Hossein, à la télé , en 78 :


Quand à Lelouch, en 95, comme à son habitude, il mit de côté le roman d'Hugo pour exposer ses propres délires sur la vie, l'amour, les gens, les chansons, et les caméras qui tournicotent. Ses inconditionnels se sont pâmés, les autres ont fui. J'ai fui. Je  lui sais  quand même gré d'avoir donné à Annie Girardot un des ses derniers grands rôles ...
J'oublie évidemment beaucoup d'autres adaptations, dont certaines ont disparu, au propre comme au figuré .
34, en tout, je le rappelle, rien qu'au cinéma !

La dernière en date est hollywoodienne, elle date de ... 2013...


... Et s'inspire autant du roman d'Hugo de la comédie musicale qui en fut tirée , en 1980, par Boublil et Schönberg, comédie musicale qui a fait le tour du monde et qui donna, chez nous, au moins un tube:



Preuve que l'on n'en a pas fini avec Valjean, Cosette, Javert... Et plus généralement avec la littérature du XIXème Siècle ! Tant pis pour Robbe-Grillet !

A plus.
Fred.





dimanche 10 novembre 2013

CINEMA DE MINUIT - CHEZ CE VALJEAN-LA, MONSIEUR...

Bonjour les amis !

Ce soir, à 00 H 15 sur France 3 : "Les Misérables" (2ème partie) de Raymond Bernard (1934)...


Nous voici donc en 1934, et le Cinéma Français s'attelle à sa première version parlante des Misérables... Le projet , ambitieux, est initié par le sulfureux nouveau patron de Pathé, Bernard Natan, et un jeune producteur promis à un grand avenir, Raymond Borderie. Ne voulant rien laisser au hasard, ils confient la mise en scène à un des réalisateurs les plus en vue de l'époque, Raymond Bernard.


Fils de Tristan Bernard, il débute aux côtés de Max Linder en 1919, mais très vite, s'impose , à l'époque où les références s'appelaient DeMille ou Griffith, comme un excellent réalisateur de films à grand spectacle, comme Le Miracle des Loups (1924) ou Le Joueur d'Echecs (1927) :


Comme Maurice Tourneur, et à l'inverse d' Abel Gance ou de Marcel L'Herbier, il passe sans coup férir le cap du parlant et marque l'Histoire du Cinéma avec Les Croix de Bois (1931), encore aujourd'hui considéré comme un des films les plus forts tournés autour de la Première Guerre Mondiale :




La force de Raymond Bernard à cette époque, c'est d'avoir su concilier le sens esthétique hérité du cinéma muet à la nécessité de théâtralisation , de nuances de jeu demandées par le parlant. Sa version des Misérables, et la restauration du film  le montre ô combien , est un petit bijou de travail autour de la lumière, des décors, de la reconstitution de cette époque dure et sans pitié. Et, surtout, le réalisateur prend bien soin de ne pas faire de Valjean un symbole , mais bien un être de chair et de sang, aidé en cela par la formidable composition d'Harry Baur.


Je ne redirai pas encore une fois tout le bien que je pense de ce monstre sacré, dont la contradiction entre l'énorme carcasse et la grande sensibilité én faisaient le choix idéal pour ce Valjean, forçat herculéeen qui découvre la bonté en même temps que l'injustice... Pardon pour ces autres grands qui ont porté le costume ( Gabin, Ventura, nous en reparlerons la semaine prochaine) , mais Baur les bat à plate couture, ne faisant pas venir le personnage à lui, mais l'incarnant en toute humilité.
Il bénéficie, il faut bien le dire, de partenaires de choix : les légendes du théâtre Charles Dullin et Marguerite Moreno composent de terrifiants Thénardier, et Charles Vanel ( pardon à Blier !) compose pour moi le Javert définitif, raide, implacable, froid, bref , totalement psychorigide, comme on ne disait pas encore...



Les jeunes également sont particulièrement surprenants pour l'époque, où les jeunes premiers avaient l'habitude de parler faux  : Jean Servais en Marius, et Emile Genevois en Gavroche...
Mais l'honnêteté m'oblige à écrire que , si Bernard est un excellent directeur d'acteurs , il a plus de mal avec ses actrices : Florelle, dans le rôle de Fantine, en fait des caisses, Orane Demazis dans le rôle d'Eponine ( prévu pour Arletty !)... hum... Enfin, bon, Orane Demazis, quoi, la Fanny de Pagnol... et même la craquante Josseline Gaël est un peu fade en Cosette... Quand on pense que le rôle devait aller à Danielle Darrieux... Quel gâchis !

Mais bon.  Malgré ces (petites) réserves, le film est inratable. C'est la raison pour laquelle, en rentrant du match d'impro opposant l'ADIV aux Ephémères de Montréal ce soir à 20 H 30 Salle des Trois Cités à Poitiers, vous ne vous coucherez pas tout de suite. C'est un ordre.

A ce soir.
Fred.











vendredi 8 novembre 2013

L'IMPRO, C'EST BEAU !

Bonjour les amis !

Gros week-end pour les amoureux de l'improvisation théâtrale !
En effet, l'ADIV a l'honneur et l'avantage de recevoir l'équipe des Ephémères de Montréal , actuellement en tournée, et pour 2 évènements ( on vous gâte, n'est-ce pas ?) :

- un Match ce Dimanche 10 Novembre à 20 H 30 Salle des 3 Cités à Poitiers ( n'ayez pas peur de rentrer tard, le lendemain, c'est férié !)


- et un Labo d'Improvisations Intimes ( intrigant, n'est-ce pas ?) le lendemain Lundi 11 Novembre à 20 H (attention !) à La Grange Aux Loups de Chauvigny.

 Quand à notre équipe, elle est prête, grâce à notre coach exigeant, Abdellatif Bellin :

LA VIE D'ADIV

A Dimanche, les amis !
Fred.




dimanche 3 novembre 2013

TOUS A CHAUVIGNY ! - MARTIN, LEWIS ET P'TITES PEPEES...

Bonjour les amis !

Ce soir, c'est à Chauvigny , au Cinéma le Rex,  à 20 H pile ( attention !) que je vais avoir le plaisir de vous retrouver pour que nous visionnions z'ensemble l'excellent Artistes et Modèles (1955) de Frank Tashlin avec le tandem Dean Martin/ Jerry Lewis !


Ainsi que les fort pimpantes Dorothy Malone et Shirley Maclaine dans un petit bijou de Comédie Musicale Burlesque Hollywoodienne !

Bande-annonce (non restaurée, mais le film, lui, l'est, et pas qu'un peu !) :


A ce soir, donc !
Fred Ab.


CINEMA DE MINUIT - LE NOM DES VALJEAN...

Bonjour  les amis !

Ce soir, à 00 H 10 sur France 3 : "Les Misérables" (1ère époque) de Raymond Bernard (1934)...


Mesdames et messieurs, voici, devant vos yeux ébahis, la plus belle adaptation du roman de Victor Hugo, et la plus complète : elle se divise en effet en trois parties, que le CDM diffusera successivement. 
Pendant des années, il a été difficile de se faire une idée précise de la valeur du film, tant les copies existantes étaient fatiguées... et fatigantes pour l'oeil du cinéphile. 
Mais , merveille des merveilles, Pathé s'est sorti les doigts et vient de livrer une restauration aux petits oignons !
Je dispose donc de trois articles pour vous faire un topo sur ces "Misérables" . Je vais en profiter : cette semaine, je vais vous parler des versions qui ont précédé celle-ci. La semaine prochaine, je m'attacherai à cette version, la meilleure, et je concluerai en évoquant celles qui lui ont succèdé.
Il faut dire que l'ouvrage a connu pas moins de 34 versions : la plus récente datant de 2012, et la plus ancienne... de 1907, soit 55 ans après la sortie du roman, elle s'appelle On the Barricade et elle est réalisée par la première femme cinéaste, Alice Guy. 



Ce film très court ne reprend que l'anecdote de Gavroche et de la Commune. La première adaptation complète de l'oeuvre est... américaine, et elle est signée par James Stuart Blackton, surtout connu pour avoir été un des créateurs du dessin animé, entre autres avec son fameux Humorous Phases of Funny Faces (1906) , ancêtre du morphing...


La France reprend la main en 1914, avec une version en 4 parties, signée Albert Capellani... Et après la Première Guerre, tout le monde s'y met.
Frank Lloyd, à Hollywood, dès 1917...

... le grand feuilletoniste français Henri Fescourt propose, lui, en 1925, une version de 6 heures , avec, dans le rôle de Valjean, Gabriel Gabrio, que l'on retrouvera dans le Regain de Pagnol, en 36...




Cependant que le Japon (!) se fend de trois versions successives, la parlant n'arrête pas l'engouement pour l'oeuvre d'Hugo : la première adaptation  sonore sort à Hollywood en 1929 ...
Ce qui fait, en un peu plus de vingt ans, une bonne dizaine de Misérables...
Comment expliquer cet engouement ? En bien, peut-être, tout simplement, par la grandeur et l'ambition du roman. Le Père Hugo souhaitait livrer une fresque humaniste accessible à tous. Il s'est donc inspiré d'une forme  alors en vogue, celle du feuilleton quotidien qui paraissait dans les journaux. Il a choisi des personnages forts, qu'il a montré en situation de force , puis de faiblesse, il a montré des injustices, incitant le lecteur à l'identification, il a multiplié les péripéties, a travaillé sur la durée , pour favoriser l'attachement ( ou la détestation - Javert) aux personnages, s'inspirant aussi bien des leçons de Balzac que de celles de Dumas, et utilisant un langage populaire qui lui valut les reproches, à l'époque, d'autres auteurs plus "précieux" ( Flaubert, Lamartine).
Et ça, tout ça, le cinéma adore, le cinéma est preneur. Le cinéma est mouvement. Si le feuilleton à épisodes a eu tant de succès , et en a encore aujourd'hui, c'est qu'il ne prend pas le temps de figer les idées, il les fait avancer. Les Misérables, c'est à la fois un western et un manifeste politique. Une statue antique et un dessin animé. Il est amusant de voir à quel point les personnages et les situations présentées sont , à 90 % , fidèles au roman, juste parfois un peu édulcorées. On a beaucoup plus souvent trituré Dumas, par exemple.  Les Misérables ont une structure tellement forte, une mécanique tellement implacable que le public de cinéma s'y retrouve toujours...
Alors, où se situe la différence qualitative entre toutes ces versions, et pourquoi celle de Raymond Bernard est-elle la meilleure ? Eh bien, c'est une question d'incarnation, et c'est ce que nous verrons la semaine prochaine...

Extrait de la version de ce soir...


A plus.
Fred.


vendredi 1 novembre 2013

TOUSSAINT, TOUS A CIVRAY !!

Bonjour les amis !

Demain, Samedi 02 Novembre, j'aurai la plaisir d'être au cinéma Cinémalice de Civrayà 17 H (attention !) pour vous présenter, dans le cadre des Séances Patrimoine , l'indispensable Jour de Fête de Jacques Tati !


Après la version originale de 1949, la version "retravaillée" de 1961 (avec les petits fanions en couleurs), la redécouverte de la version "couleurs" il y a quelques années , venez découvrir la version originale Noir et Blanc en Version restaurée !



A demain !
Fred.