lundi 19 novembre 2012

ALORS, CETTE SAINT-BARTHELEMY, CA VIENT ?

Bonjour les amis !

C'est à la fois à rire et à pleurer. Le triste spectacle donné depuis douze heures par "le premier parti d'opposition de France" fait penser aux heures les plus grinçantes de la comédie italienne.
Entre Copé, convaincu que, magie ou méthode Coué, l'annonce de sa victoire en fera une vérité immédiate, et Fillon, favori désavoué, jouant -difficilement- la carte de la dignité outragée, tout ce cirque véhément ne cache qu'une seule ambition : le pouvoir pour soi et rien d'autre.


En tous cas, quelle que soit l'issue du scrutin, une chose est sûre : l'UMP a perdu. Aucun des deux leaders ne sera , en fin de compte, le leader "naturel". Le parti ne lui appartiendra pas, ce qui avait été la stratégie gagnante de Sarkozy pour devenir président du pays en 2007...


Sarkozy qui n'est pas non plus le grand triomphateur caché de cette bouillasse : quand on voit la détermination des dauphins, on se doute bien qu'ils ne laisseront plus, à, présent, revenir  le vieux roi !
Triste fin pour un parti qui fut si longtemps, sûr de lui et dominateur...
Quelle drôle d'époque, quand même...



A plus.
Fred.




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